En France, le baseball est un sport de l’ombre pourtant présent sur notre territoire depuis 130 ans. Gaétan Alibert, chroniqueur sportif, s’évertue depuis plusieurs années à nous faire découvrir le National Pastime des Etats-Unis, qui va bien au-delà d’une simple activité sportive. Avec ce livre, il poursuit son entreprise de médiation via les parcours de cinq joueurs et cinq joueuses qui ont marqué le sport à leur manière. Vous ne lirez pas un énième portrait des stars Babe Ruth ou Joe DiMaggio, mais plutôt ceux des pionnières et des rebelles comme Edith Houghton, la première recruteuse de la MLB, Bonnie Baker, joueuse puis manageuse dans la All-American Girls Baseball League, dont le parcours va inspirer le film culte Une équipe hors du commun, ou plus récemment Julie Croteau, qui se battra pour jouer dans une équipe masculine. Vous ne pourrez pas être insensible au fantasque Bill Veeck, et son sens du spectacle et du business, comme lorsqu’il engage Eddie Gaedel, homme de petite taille de 1.09m comme batteur. On lui doit aussi le nom des joueurs sur les maillots et l’invention du prêt de joueur. Il est également capable du pire lorsqu’il organise le légendaire disco demolition night, qui va signifier la fin du règne de la musique dico, rien que ça ! Son idée est d’utiliser la haine de cette musique, qui inonde les radios et les charts, pour remplir son stade. Le 12 juillet 1979, les spectateurs sont invités à venir déposer les disques de disco dans une benne, qui seront ensuite pressés puis brûlés entre les deux matchs qui opposent les White Sox et les Detroit Tigers. Pour chaque fan qui apporte un disque, sa place est réduite à 98cents. En homme de spectacle, Bill a également prévu un feu d’artifice pour accompagner la destruction. Alors que les organisateurs espèrent accueillir 10 000, ce sont plus de 30 000 personnes qui participeront à cet événement ! En choisissant ces ovnis, l’auteur a privilégié celles et ceux qui ont lutté contre le racisme, le sexisme et laissé leurs empreintes dans l’histoire de ce sport. Même si vous êtes néophyte, vous vous laisserez embarquer par ces histoires extraordinaires et la capacité de l’auteur à nous transmettre sa passion.
Actualités
« Brèves d’Ehpad » : les savoureuses petites phrases de nos aînés compilées par Caroline Gros Après avoir passé une dizaine d’années dans les Établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad), Caroline Gros nous offre « Brèves d’Ehpad », une compilation savoureuse des bons mots de nos aînés. C’est un livre plein de tendresse, mais sans complaisance, que nous propose ici Caroline Gros. Titulaire d’un master en sciences de l’éducation et cinéaste amateur, elle est aujourd’hui consultante en évolution professionnelle. Et si elle a tourné la page de son parcours en Ehpad, elle n’en a pas moins gardé une affection toute particulière pour tous ceux et celles qu’elle a côtoyés durant une dizaine d’années. Humour et franc parler Pour un premier ouvrage, qui en appellera sans doute d’autres, l’auteure, installée dans le sud-Finistère et éditée par Blacklephant Éditions, une maison d’édition alréenne, a voulu proposer cette compilation bourrée d’humour, un rien nostalgique, parfois caustique sur nos anciens et leur franc-parler. Des femmes et des hommes dont elle a précieusement noté chaque bon mot, chaque expression. « J’écris beaucoup pour moi. Pour avoir des idées de scénarios… J’ai eu envie de les faire partager parce qu’ils en disent long sur nos aînés dont beaucoup, malheureusement, ne sont plus là », explique Caroline Gros. “Je ne comprends pas pourquoi les vieux meubles prennent de la valeur et pas nous !Je ne comprends pas pourquoi les vieux meubles prennent de la valeur et pas nous !” À travers cet ouvrage, on retrouve tout l’esprit des brèves de comptoirs, petites phrases lancées à l’emporte-pièce qui retrace des morceaux de vie. Comme celle de René, le jour de ses 100 ans : « Je ne sais pas ce que j‘ai aujourd’hui… Je me sens légèrement fatigué ». Ou d’Alice, 92 ans, sortant de chez le coiffeur : « Aujourd’hui je suis jolie, j’ai une tête de coquelicot ». “Bois Joly, quel drôle de nom pour une maison de retraite, j’aurais plutôt appelé ça Kenavo” Des petites phrases pleines de bon sens comme Éliane, 92 ans : « Je ne comprends pas pourquoi les vieux meubles prennent de la valeur et pas nous, c’est triste quand même ! » ; pragmatiques comme Rolland, 92 ans : « On en a dit des bêtises, il y a des choses qui ne sont pas trop à raconter. Ce n’est pas grave de toute façon, moi, demain matin, je m’en souviendrai plus ! ». Ou logiques comme Yvonne, 96 ans : « Bois Joly, quel drôle de nom pour une maison de retraite, j’aurais plutôt appelé ça Kenavo ou quelque chose du genre ». Drôles, enfin, comme Marie, 103 ans, sur son fauteuil roulant : « Mais viens donc m’aider, je ne trouve pas le levier de vitesse sur ce fichu tracteur ».? De bons conseils On se plonge aussi dans les conseils avisés de nos aînés. Marie, 90 ans : « On n‘apprend rien à l’école. C’est après qu’on apprend » ; Anne-Marie, 96 ans : « J’ai un regret dans la vie, c’est d’avoir fait un mariage de raison et de pas être partie avec mon gentil accordéoniste. Si j’ai un conseil, c’est de suivre son cœur » ; ou Alex, 74 ans : « J’ai eu des médailles mais je ne suis pas fier que ce soit pour faits de guerre et non pour une cause humanitaire, sans le bruit des armes ». Cette bulle de bonne humeur nous livre un regard différent sur la vieillesse, loin de la tristesse, entre éclats de rire et émotion, entre bonne humeur et humour noir. « Et encore, j’ai édulcoré. Certaines idées étaient vraiment trop noires. J’ai aussi évité les histoires trop tristes… Il y en avait », conclut Caroline.
Le 17 janvier 2013, lors d’une interview télévisée avec Oprah Winfrey, le cycliste américain Lance Armstrong avoue s’être dopé pendant plusieurs années et reconnaît avoir bâti sa carrière sur un tissu de mensonges. Devant près de 4 millions de téléspectateurs, la star déchue du cyclisme mondial, qui a remporté sept Tours de France consécutifs de 1999 à 2005, confesse avoir recouru à l’EPO, aux hormones de croissance ainsi qu’à de nombreuses transfusions sanguines. Comment Lance Armstrong a-t-il pu dissimuler aussi longtemps un tel programme de dopage ? Jean-Pierre Gratien et ses invités reviennent sur cette affaire et dressent un état des lieux du dopage dans le cyclisme. Pour en débattre, Jean-Pierre Verdy, fondateur et ancien directeur du département des contrôles de l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) depuis sa création en 2006 jusqu’en 2015. Auteur de : Dopage – Ma guerre contre les tricheurs – Arthaud. Marion Sicot, ex cycliste. Professeur de sport vacataire. Entraîneur, organisatrice de stages cyclistes. Auteur de : Harcelée, dopée, mais de retour ! – Blackelephant. Thierry Vildary, journaliste sportif d’investigation spécialisé dans le dopage. LCP fait la part belle à l’écriture documentaire en prime time. Ce rendez-vous offre une approche différenciée des réalités politiques, économiques, sociales ou mondiales….autant de thématiques qui invitent à prolonger le documentaire à l’occasion d’un débat animé par Jean-Pierre Gratien, en présence de parlementaires, acteurs de notre société et experts.
L’auteure de « 101 ans, mémé part en vadrouille », Fiona Lauriol est l’invitée de Konbini ! Elle nous parle de son incroyable voyage en camping-car avec sa grand-mère centenaire et de son engagement contre la mort sociale des personnes âgées. Son livre est disponible en librairies et sur les plateformes en ligne. Édité chez Blacklephant Editions.
L’auteure de « 101 ans, mémé part en vadrouille », Fiona Lauriol, est l’invitée du 12/13 sur France 3 Pays de la Loire. Elle nous parle de son incroyable voyage en camping-car avec sa grand-mère centenaire et de son engagement contre la mort sociale des personnes âgées. Son livre est disponible en librairies et sur les plateformes en ligne. Édité chez Blacklephant Editions.
Vous voulez tout savoir sur “Brèves d’Ehpad” ? Son auteure, Caroline Gros, vous dévoile les coulisses de ce livre qui donne la pêche ! “Brèves d’EHPAD”, ce sont des paroles d’anciens et de plus jeunes, des anecdotes drôles et touchantes que Caroline Gros a entendues lorsqu’elle travaillait dans des Ehpad bretons. Ce livre a pour objectif de valoriser la parole des personnes âgées à travers des citations amusantes et pleines de sagesse. Publié par Blacklephant Editions
L’auteur du livre « La formidable aventure du fondateur de L’Équipe et directeur du Tour de France », Thomas Brochut – Goddet, est l’invité de France Bleu Tourraine ! Ecoutez-le évoquer le parcours exceptionnel de son grand-père Jacques Goddet qui a marqué la presse, la culture et le sport au XXe siècle ! Pour en apprendre plus sur cet homme incroyable, le livre est disponible en librairies et sur les plateformes en ligne. Édité chez Blacklephant Editions
La grand-mère de Fiona attendait de terminer sa vie dans une maison de retraite malgré ses 100 ans passés. Une fin de vie tristement banale. C’est contre cette banalité et cette fatalité de la fin de vie que Fiona Lauriol a emmené sa grand-mère dans un périple de 15 000 kilomètres en Europe à bord d’un camping-car. Elle en fait un livre « 101 ans, Mémé part en vadrouille » et surtout elle en fait aujourd’hui son combat contre la mort sociale
Pour sensibiliser à la mort sociale des personnes âgées, je vais sillonner les routes de France “Vivre cette aventure m’a ouvert les yeux sur le monde de la vieillesse et j’ai envie de me battre pour faire bouger les lignes” explique cette jeune femme. VIEILLESSE – Vous avez dû entendre parler de l’histoire de ma grand-mère et moi, sur les routes en camping-car, jusqu’à ses 103 ans, 3 mois et 3 semaines, elle que j’ai récupéré à 100 ans condamnée à une semaine de vie. Vivre cette aventure m’a ouvert les yeux sur le monde de la vieillesse et j’ai envie de me battre pour faire bouger les lignes. Car, si ce n’est pas la jeunesse qui monte au créneau pour ses anciens, ceux-là même qui étaient présent pour les premiers pas de cette jeunesse, ce n’est certainement pas eux qui pourront hurler leur mal-être car, avant même d’ouvrir la bouche, on les musèlera. On m’avait dit une semaine pour ma grand-mère, on a vécu plus de trois années de folie, malgré son incontinence, malgré son déambulateur, et on a réussi en camping-car à lui redonner ce si joli sourire. Faire entendre ma voix pour les personnes âgées Pour faire entendre mon histoire, je vais sillonner les routes de la France pendant un an, menant des conférences, me rendant dans des associations aussi bien que dans des lycées, pour expliquer que la vieillesse n’est pas une sale maladie, bien au contraire, qu’on n’a pas le droit moral d’enterrer les vieux avant l’heure sous prétexte qu’ils n’ont rien à apporter à la société, qu’on devrait les écouter et les stimuler au lieu de leur offrir un mur blanc comme seul horizon, et que même à 102 ans, on peut assister à son premier concert à Tudela, près du désert des Bardenas, ou croiser un homme tout nu sur une plage hispanique, ou faire le chemin de St Jacques de Compostelle… Sachez qu’il faut agir maintenant car, on ne dirait pas comme ça, mais ce sera à notre tour, un jour, si on ne fait rien, d’être installé face à ce mur blanc. «Je ne recherche pas une révolution, simplement une évolution.» Habituellement je me débrouille seule, mais là, pour ce combat, pour replacer de l’humanité dans nos vies, pour que la prise de conscience soit étendue, pour toucher un maximum de gens, j’ai besoin de vous car je suis persuadée que, vous aussi, vous voulez d’un monde meilleur ! Une annonce officielle À partir de maintenant et pendant un an, je pars en croisade (avec mes parents qui ont été convaincus par mes arguments) offrir plus de 2000 heures de mon temps pour me battre contre la mort sociale qui touche plus d’un demi million de personnes âgées. Un demi million, c’est un chiffre qui, à lui seul devrait motiver chacun de nous à trouver des solutions. Imaginez que si tout le monde offre une heure par an, donc 60 millions d’heures pour combattre cette mort sociale, ça fera bouger les lignes. Et une heure dans une année, je ne trouve pas que ce soit utopiste. Moi, à ma petite échelle, je vais sillonner les routes de France pour mener des conférences, aller dans les lycées, dans les associations, rencontrer des politiciens, des hommes religieux, car l’unité est le seul mot d’ordre pour cette cause qui, si on ne fait rien, si on continue à fermer les yeux, nous touchera dans dix, 15, 20 ans et fera de plus en plus de victimes. Je sais que je n’ai pas de leçons de morale à donner à qui que ce soit, que ce n’est pas en culpabilisant les gens pour changer leur regard que j’arriverai à faire entendre ce murmure de personnes qui meurent en silence, chez eux, dans la totale indifférence de tous ceux qui, pourtant, un jour, les ont côtoyés. Je ne recherche pas une révolution, simplement une évolution. Eux se sont battus en Mai 68, à nous de nous battre pour leur offrir autre chose que le SDMB (le Syndrome Du Mur Blanc) qui, à lui seul, fait beaucoup de dégâts. Ni politique, ni religion, car la mort sociale touche tout un chacun Merci d’avoir pris cinq minutes pour me lire, car si ce soir en rentrant chez vous, vous allez embrasser vos parents, vos grands-parents, votre vieux voisin, j’aurai déjà réussi à faire trembloter les lignes et si dans un an, on se retrouve et qu’ensemble on a réussi à sauver 10-15-20 mille personnes en mort sociale, on pourra tous se regarder dans un miroir et vous pourrez être fiers de vous. Nous étions donc à Paris le 18 mai pour mener ma première conférence aux Petits Frères des Pauvres avec Sylvain Tesson, à Niort le 21 mai pour la fête européenne du camping-car, à Luçon le 5 juin avec le Père Pedro.
Le livre hommage de Thomas Brochut-Goddet à son grand-père Jacques, ex directeur du Tour de France Après « Jacques Goddet, mon grand-père », Thomas Brochut-Goddet revient avec « La Formidable aventure du Fondateur de l’Équipe et directeur du Tour de France » toujours en hommage à son grand-père. Son premier livre « Jacques Goddet, mon grand-père » avait été un succès, et l’hommage au journaliste sportif le plus important du XXe siècle ne pouvait pas s’arrêter-là. Écrit avec le cœur et la mémoire, sans aucune note, ni dictionnaire du sport ou autre encyclopédie, ce nouveau chapitre en fait un livre sortant des sentiers battus de la simple biographie. Petit-fils de Jacques Goddet, Thomas Brochut-Goddet, 57 ans, est un grand passionné de sport mais un jeune écrivain. Il se caractérise lui-même comme un homme généreux mais surtout honnête. « Je ne mens pas. L’histoire que je raconte, elle est vraie. Tout ce que j’y raconte est vrai ! » Une qualité qui se fait de plus en plus rare dans le milieu du journalisme sportif selon lui, lui qui n’hésite pas à tacler les dirigeants du média sportif n° 1. « Cela ne plaît pas à certaines personnes parce que j’assène des vérités et j’ai le courage de dire les choses en ce qui concerne l’Équipe et le Tour de France. Mon grand-père n’aurait jamais laissé faire des choses pareilles. Je ne vais pas polémiquer sur ce sujet mais c’est sûr que je n’aurai pas de papier dans l’Équipe. Vous voyez de quelle famille je parle… » « Ce bouquin, je l’ai écrit rien qu’avec ma tête » L’écriture de son livre aura duré un an. Une année où ses souvenirs lui seront remontés à la tête et durant laquelle il a souhaité parler avec son cœur. « Ce bouquin, je l’ai écrit rien qu’avec ma tête. J’ai perdu toutes mes archives lorsque j’ai quitté l’Égypte pour revenir en France. L’Équipe n’a pas souhaité m’offrir les archives de mon propre grand-père. Je me suis donc servi d’aucune documentation, sauf pour confirmer les dates. » Des dates marquantes de la vie de Jacques Goddet. Nommé « l’homme du XXe siècle » par son propre journal le jour de sa mort, Jacques Goddet est également le créateur de la Coupe des Clubs Champions, du Paris Dakar ou encore de la Route du Rhum. Un palmarès grandiose mais trop peu connu de la nouvelle génération. « J’ai écrit ce livre pour plusieurs raisons. D’abord pour raconter l’homme extraordinaire qu’il était, mais aussi pour que le jeune public découvre ce personnage emblématique du sport. J’ai essayé d’être le plus simple possible dans l’écriture et mon meilleur ami m’a même dit que cela en devenait presque vulgaire. » Nelson Monfort et Erik Orsenna en préface Pour la préface de son livre, l’auteur a frappé fort, tel un boxeur. On y retrouve : Nelson Monfort, journaliste sportif préféré des Français, et Erik Orsenna, académicien de renommé. « Nelson est un ami de longue date et durant le Tour de France 2019, qui se déroulait pendant la pandémie, je l’ai recroisé. Il m’a demandé pourquoi je ne profitais pas de mon temps libre pour écrire un livre retraçant l’histoire de mon grand-père. Je suis dans le domaine de la publicité et durant la pandémie mon activité avait cessé. » Une idée que l’auteur trouvait grotesque au départ, « J’avais le sentiment de ne pas être légitime », mais qui a finalement vu le jour à la suite d’une rencontre magique. « Nelson insistait et j’ai rencontré Erik Orsenna quelques jours plus tard. Je savais qu’il adorait le Tour de France et je lui ai proposé l’idée. Il m’a répondu qu’il fallait que je l’écrive, et un an plus tard il en a fait une dédicace. » Une édition dans le Morbihan D’une taille d’environ 150 pages, le nouveau volet a déjà été précommandé à 1 600 exemplaires. Une réussite pour l’auteur qui a souhaité que son livre soit édité dans la jeune maison d’édition : Blacklephant. « Le premier livre a été un succès sauf que j’étais en autoédition. Je me suis dit qu’il valait mieux que je passe dans une maison d’édition jeune et qui en veut. Ils ont retravaillé le titre et la couverture, que je trouve extraordinaire, mais le texte ne change pas. On a également changé le titre car on voulait mettre plus en avant mon grand-père que moi ». Basé à Crach, près d’Auray, Blacklephant et ses dirigeants, Sabrina Bakir Rio et Philippe Bonhomme, savourent ce choix. « Il rend un très bel hommage à son grand-père et puis ce livre est accessible à tous dans le sens où il est facile au niveau de la lecture et plaisant en termes de connaissance ».